L’évolution de la pluviométrie à Bandafassi est un enjeu crucial en termes de résilience climatique, notamment en termes d’adaptation du calendrier des semis. Le fonio est semé en fonction de la pluviométrie anticipée, qui s’avère parfois erronée, avec des conséquences importantes sur les rendements. Cette vidéo montre comment se fait la récolte de fonio dans nos villages avec les différentes
Dans les cultures collectives, on célèbre le héros parmi tous les hommes du village, celui qui travaille le plus vite et le mieux. C’est le héros du jour. À la maison, le soir, la récompense pour le ce dernier, c’est la tête du bélier que l’on a tué pour la collectivité. On lui remet la tête, et c’est à ce
Bonne nouvelle pour les agriculteurs ! Une nouvelle semence d’arachide a été découverte, elle est adaptée à la sécheresse et pousse plus rapidement. Une seule coquille contient 4 graines comme vous pouvez voir sur la photo. Son rendement double donc par rapport à celui de la première semence.
Voici la récolte de sorgho et de petit mil de cette année. Après l’avoir rendue propre on le met dans le grenier et on rgarde une partie des graines pour la semence de l’année prochaine.
Fanta koné a cultivé ce gombo dans son propre champ. Au début de l’hivernage, les résultats n’étaient pas bons mais elle ne s’est pas découragée. Elle a commencé par bien préparer son champ, puis elle l’a labouré à la moitié de l’hivernage. L’année dernière ellle a eu plus de 10 sacs de gombo mais cette année, elle n’en a eu
La semence de maïs est cultivée à Bouillagui pendant l’hivernage qui dure 3 mois. On choisit donc la semence la plus rapide à récolter, qui aide les familles qui n’ont pas assez de mil [culture de soudure]. Le maïs est cultivé dans les champs un peu sablonneux sans engrais industriels, il suffit de mettre des bouses de vache qui servent
Le groupe d’entraide dans le champ d’un habitant de Mandou pour la récolte du riz en présence du délégué villageois de Mandou Moussa Camara. Nous sommes en octobre et cela fait deux semaines qu’il n’y a déjà plus de pluie. La jeunesse s’organise pour venir aider le propriétaire du champ pour faire face aux défis du changement climatique.
L’utilisation des ressources endogènes est un des moyens de résilience face au changement climatique. Ainsi, les habitant.e.s de Bougarila récoltent les feuilles du baobab. Les hommes récoltent les feuilles de baobab sur l’arbre. Les feuilles récoltées seront ensuite séchées au soleil puis pilées par les femmes. La poudre obtenue est notamment utilisée dans la cuisine.
C’est en fin octobre qu’on déterre l’arachide en regroupant les plantes déterrées en petits tas tout en les laissant séché sous le soleil. Au mois de novembre ces tas sont petits à petits regroupés en un très grand tas. Après ce travail on procède au battage du tas avec des battons puis à une séparation des graines et du foins.
A la fin de la récolte, on coupe les maïs. On sélectionne les maïs les plus beaux, les plus gros et les plus complets. On les attache et on les met sur des branches d’arbres. Pendant l’hivernage, on les détache pour faire la culture avec. Auparavant, on faisait la culture du maïs blanc mais aujourd’hui c’est le maïs jaune. Les