Savoirs locaux

20
May

“Vegetable saleswoman at the weekly market of Wassadou”, (Senegal) – May 2021

“For us, this is what can help us, we go to Tamba to sell some goods and on the way back we buy some market garden produce to sell here, especially during Ramadan.  This year we were lucky, they didn’t close the market, otherwise it was a nightmare. It is this activity that allows us to help our husbands who

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20
May

“Bokossoni River in Bossoko”, (Guinea) – April 2021

“This river is called “Bossokôni”, hence the name of the village of Bossokô. But today, one can neither wash clothes nor drink from it. Bossokô is engaged in artisanal gold mining. Despite the negative effect of climate change, the degradation of the environment of Bossokô is due to certain anthropic activities. This river is full of history, which tends to

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20
May

“The infertility of the soil and the cultivation of cotton and millet”, Missirah Tabadiang (Senegal) – April 2021

“Salamalaïkum, Mamadou Djikiné Missira Tabadjan, relay Donkosira. This is our cotton field, which has been here since the first rain. The cotton plants do not grow beyond this size, this is the limit because of the infertility of the soil. As I just explained to you, with this kind of crop when you don’t have a fertile soil, without using

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20
May

“The drying of the river in Mandou “, (Guinea) – April 2021

“My name is Kanibooi Ibrahaima Camara, the elder of Mandou village. We are in the bed of the Farako stream where we practised our rituals, we did not cut wood here, we did not fish, even the children did not dare to enter here because the forest was so dense. This river, which is now drying up, used to have

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20
May

“The seasonal wellsx”, Damaro (Guinea) – April 2021

“Most of the wells are seasonal due to climate change, which causes the dry season to be prolonged. The women, girls and boys, very early in the morning, in single file, go in order of arrival, with the help of a well, to fill their canister before the sun is blazing and empties the well.” Mariam Camara 

15
Feb

Un baptême à Damaro (Guinée)

Le baptême (dénabö, en konianké ; den : l’enfant) est une cérémonie qui a lieu au septième jour de l’enfant. On donne publiquement un nom à l’enfant à travers l’imam. Les parents se concertent auparavant pour choisir un nom en référence à un membre de l’entourage ou bien un aïeul. Les deux homonymes deviennent aussitôt membres de la famille de l’un et de

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14
Feb

La récolte du riz organisée par le tomboroma (Damaro, Guinée)

On ne peut pas récolter le riz tout seul dans un grand champ : le propriétaire informe le tomboroma pour demander de l’aide pour sa récolte. Le tomboroma, après la prière du vendredi, donne rendez-vous à tous les jeunes sous le manguier pour la tenue d’un travail public, généralement le dimanche. C’est un travail sans rémunération, les jeunes sont uniquement nourris par le propriétaire

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12
Feb

Pouvoirs et contre-pouvoirs locaux à Damaro (Guinée)

À Damaro, le chef de village (kabla kounti en malinké) prend des décisions entouré d’un conseil (kabla kounti) qui représente les grandes familles du village. Ses décisions sont relayées auprès de la population par le porte-parole (béléna). Le gardien des lois (tomboroma) veille quant à lui à l’application de ces décisions. Voici leurs fonctions : Kabla Kounty : c’est le chef

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12
Feb

Mariages et pratiques traditionnelles Agnak Grand (Sénégal)

Lors de mariages une des pratiques qui se perpétue, consiste à mettre en concurrence la jeune mariée et les sœurs du mari autour d’un puits. Le défit pour à relever pour les deux parties consiste à réussir à sortir la première une seau rempli d’eau d’un puits. Si la mariée réussie à sortir le seau la première, elle engendrerait beaucoup

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12
Feb

Les femmes et les cultures de contre-saison Agnak (Sénégal)

Les femmes n’ont pas de répit dans le travail à Agnack. après les travaux des rizières elles s’adonnent aux activités maraichères pendant la saison sèche. Cette activité leur rapporte des revenues avec lesquels elles peuvent subvenir à leurs activités personnelles. GUJAHËR : Ëndikkam gudaŋ nuumlahë abukookë Añaax. ganfuri ahareen a tooloŋ gen doolë burukkë saboola, bamanteŋ ëngë honjën tu unhu humine

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