On voit ici l’un des champs de maïs de Monzona. On fertilise les sols des champs de maïs à l’aide d’engrais local composé de bouse de vache et d’autres animaux qui viennent passer la saison sèche dans nos champs, qui mesurent plus de cinq hectares, pour laisser leur bouse. Ce sont les animaux seuls qui peuvent fertiliser cette terre de
A Bougarila, les villageois.e.s s’organisent collectivement pour compenser les effets du changement climatique et améliorer les résultats des récoltes. Tout d’abord, les villageois.e.s cultivent ensemble un des champ du village. Mais ils s’entraident également sur les parcelles privées, des travaux préparatoires aux récoltes ! Les jeunes du village préparent ensemble les terrains pour en faire un périmètre maraîcher. L’association des
En septembre dernier, Donkosira a passé un accord de partenariat avec la chaine maliennw de télévision locale Kayes TV pour couvrir les activités de Donkosira dans le cadre du projet. Ce partenariat promet de belles images et une communication externe accrue au niveau local.
Le projet Watigueleya Kèlê a conçu une application pour la collecte de données des villageois. L’application est désormais disponible sur Applestore ainsi que Playstore sous Android. Cliquez pour Donkosira @Playstore ici et pour Donkosira@AppStore ici
L’équipe Watigueleya Kèlê est ravie d’annoncer le lancement du SOAS Research Blog Series « Résilience climatique en Afrique de l’Ouest », entièrement dédiée aux blogs du projet. Consultez la page en cliquant ici
« Défis et apports de la transhumance à Bouillagui (Mali) », par Waly Traoré ? (Novembre 2021) Le phénomène de la transhumance affecte Bouillagui, qui doit parfois trouver des solutions à ses effets négatifs, mais parvient à utiliser le potentiel fertilisant des animaux. Transhumance et déforestation Bouillagui est à la frontière de la Mauritanie, de ce fait à chaque saison de pluie,
A Banzana, les villageois.e.s constatent les effets néfastes de la baisse de pluviométrie sur les rendements et tentent de les compenser par le travail humain. Je suis Haby Sangaré, Banzana. Ici nous ne pratiquons que l’agriculture mais il n’y a pas de pluie. Nous fertilisons nous-mêmes manuellement nos champs , nous cultivons l’arachide pour subvenir à nos besoins mais la
Ces cultivateurs de Mandou moissonnent une variété de riz de courte durée, trois mois, à peu près comme le fonio, pour des raisons de changement climatique. Avec l’ancienne variété les pluies cessaient avant sa maturité ce qui engendrait des pertes énormes. Néanmoins avec cette dernière ils le moissonnent à temps.
Je suis Mamadi Keita. Ces panneaux solaires sont un ouf de soulagement pour nous car l’interdiction de couper le bois quelque soit sa taille dans la forêt avait créé des conflits dans le village. Les panneaux solaires ont drastiquement réduit l’utilisation du bois surtout pour l’éclairage des maisons. Aujourd’hui avec un panneau on a au moins la lumière dans la
Je suis Drissa Camara de Damaro. Je suis le fils du chef de village. Là où nous sommes, si vous entendez Damaro c’est ici, tout part d’ici, tout est décidé ici. C’est notre arbre à palabre. Depuis que ces pierres ont été mises là il y a de cela des années, toute action de développement y est décidée, toutes les