Dans cette vidéo, on voit une femme Bedik qui fabrique des canaris. Elle nous explique qu’elle prend la terre en haut sur la montagne, que ce n’est pas n’importe quelle terre: c’est une terre qui a été achetée par leurs grands-parents au prix d’une vie. Maintenant, à chaque fois qu’elle creuse la terre pour fabriquer des canaris, ils doivent payer
Je m’appelle Assata Camara, citoyenne de Mandou. Nous sommes venus au marigot pour laver nos habits. Comme vous le constatez, c’est le manque d’eau qui nous a envoyé au marigot ici, même si l’eau est sale et rouge, nous sommes obligés de laver nos habits avec. Qu’est-ce qui a causé le manque d’eau ? C’est Dieu, la pluie se raréfie
La culture des oignons de contre-saison dans le jardin féminin à Bouillagui a été financée en partie par le projet Donkosira et ses partenaires depuis plus de 2 ans. L’association féminine qui cultive ce jardin comprend environ 80 à 90 femmes et filles. Dès le mois de juillet, elles commencent à préparer des pépinières d’oignons et au bout d’un mois,
« Pour nous, c’est ça qui peut nous aider, on va à Tamba pour vendre quelques marchandises et au retour on achète quelques produits maraîchers pour venir vendre ici, surtout pendant le ramadan. Cette année on a eu de la chance, ils n’ont pas fermé le marché, sinon c’était la galère. C’est cette activité qui nous permet d’aider nos maris
« La plupart des puits sont saisonniers du fait du changement climatique qui provoque le prolongement de la saison sèche. Les femmes, les filles, les garçons très tôt les matins, en file indienne, vont par ordre d’arrivée, à l’aide d’un puisage, remplir leur bidon avant que le soleil ne soit ardent et ne vide le puits. » Mariam Camara
Les femmes n’ont pas de répit dans le travail à Agnack. après les travaux des rizières elles s’adonnent aux activités maraichères pendant la saison sèche. Cette activité leur rapporte des revenues avec lesquels elles peuvent subvenir à leurs activités personnelles. GUJAHËR : Ëndikkam gudaŋ nuumlahë abukookë Añaax. ganfuri ahareen a tooloŋ gen doolë burukkë saboola, bamanteŋ ëngë honjën tu unhu humine
Auparavant dans la société soninké dès la naissance de la fille on allait mettre un bout de fil au pied de la fille comme fiancée. Mais à Bouillagui, un village qui fait partie de cette sphère, c’était le cas contraire au temps passé. A Bouillagui c’est quand la fille atteint 10 ans ou 14 ans comme ça, elle peut être
Dans la région de Damaro, ce sont les femmes qui rejoignent le village de leurs maris. La cérémonie du mariage se fait dans les deux villages : la famille de la femme organise une cérémonie chez elle, puis les parents du futur marié se déplacent pour faire la négociation dans le village de la femme, la remise de la dot se