Dans la culture bedik, si il y a iniation le mercredi, les filles vont aller chercher de l’eau. Avant ça se faisait sur la montagne, il y avait des points d’eau, mais maintenant avec le changement climatique, c’est difficile de trouver de l’eau à Ethiouar, elles sont obligées de descendre en bas pour chercher de l’eau, et venir faire les
Autrefois, il y avait abondance de pluies, cette rivière se remplissait d’eau et se stabilisait longtemps, on satisfaisait tous nos besoins avec cette eau, mais au cours des 10 dernières années la rivière ne retient plus l’eau. La rivière est sèche 8 mois sur 12 (de novembre à juin). Pour faire face à ce problème, on a creusé des puits
Il était une fois, une tortue et un hippopotame qui étaient de grands amis. Ils décidèrent de vivre en communauté dans une parfaite amitié. Ils vécurent pendant des années et leur amitié fut légendaire jusqu’au jour où la sécheresse frappa à la porte du village. À cause de la sécheresse, les fleuves et les puits tarirent et un problème d’eau
Un barrage villageois pour lutter contre le manque d’eau : « On a fait ce barrage avec des cailloux. On a assemblé les cailloux, cette partie est creuse. L’eau vient de là-haut, descend et arrive ici. Pour trouver une solution à ce problème de l’eau, on a pris la décision en commun de créer ce barrage afin que toute l’eau
« La plupart des puits sont saisonniers du fait du changement climatique qui provoque le prolongement de la saison sèche. Les femmes, les filles, les garçons très tôt les matins, en file indienne, vont par ordre d’arrivée, à l’aide d’un puisage, remplir leur bidon avant que le soleil ne soit ardent et ne vide le puits. » Mariam Camara