“ Je ne sais si tu connais le lieu là, le lieu qu’on appelle Kuga. On y puisait de l’eau avant, mais actuellement elle manque. Les vieux qui vivaient ici disent que les gens y puisaient de l’eau, mais regardez aujourd’hui, il n’y a même pas d’eau. C’est étonnant. Même si on creuse, on ne trouve pas d’eau. –1-Jacques interview
“Au Mali ( Région de Kayes, village de Banzana), je me souviens quand j’étais enfant on commençait à semer le 25ème jour du mois de Mai pour assurer une bonne saison et les récoltes étaient le plus souvent bonnes. Mais de nos jours, l’hivernage commence de plus en plus tard, c’était encore le cas cette année on a commencé à
Kalil Camara, cultivateur à Damaro, témoigne : « Ici le lieu s’appelle s’appelle « kônongroun », ce marigot est gâté, l’eau était très profonde, mais regarde, on peut même sauter là-dessus. Les poissons sont partis, tous les jeunes du village de Damaro-centre venaient se laver là, apprendre à nager, mais du fait de la chaleur, il s’est tari, les champs du riz cultivés le
Manigbè Sidiki Camara, habitant de Mandou, témoigne : « manque de paille dans notre village à cause de la rareté des pluies c’est pourquoi nous sommes réunis en association pour fabriquer les briques pour construire les maisons en tôle. Avec nos femmes, après la récolte on s’associe pour acheter les tôles afin de réduire les cases en paille parce qu’on
Bonjour et bienvenue au village d’Ethiouar, où nous sommes aujourd’hui pour faire une présentation. Ethiouar est un village historique bedik, (Bedik de Bandafassi). Dans ce village, nous avons des constructions en terre battue, en argile et aussi en paille et en bambou. Et aussi, nous avons des constructions en abris provisoires. Nous avons des abris provisoires, comme vous pouvez le
« Cette rivière s’appelle « Bossokôni » d’où le nom du village de Bossokô. Mais aujourd’hui, on ne peut ni y laver les habits, ni y boire. Bossokô pratique l’activité d’extraction artisanale de l’or. En dépit de l’effet négatif du changement climatique, la dégradation de l’environnement de Bossokô est due à certaines activités anthropiques. Cette rivière est remplie d’histoire, qui a tendance à
« Salamalaïkum, Mamadou Djikiné Missira Tabadjan, relais Donkosira. Ici c’est notre champs de coton, qui était là depuis la première pluie. Les cotonniers ne dépassent pas cette taille, c’est la limite à cause de l’infertilité du sol. Comme je viens de vous expliquer, avec ce genre de culture quand tu ne possèdes pas un sol fertile, sans utiliser des engrais, tu