La femme que l’on voit sur la vidéo est un exemple de l’importance de la forêt pour la population, et de la relation entre les habitant.e.s de Wassadou et la nature. Ici, elle trie les feuilles de palmiers, dont elle va ensuite fabriquer des balais. Elle les fabrique pour les vendre, et obtenir un complément de revenus. Cependant, cette
Du 9 au 12 Janvier 2023, un plaidoyer organisé dans le cadre du projet Watigueleya Kêlé atelier a eu lieu à Tambacounda (Sénégal). Cet atelier a réuni les délégués des trois villages sénégalais participant au projet (Bandafassi, Missirah Tabadiang, et Wassadou-Dépôt), encadrés par l’équipe Donkosira, et l’expert plaidoyer Illia Djadi. L’objectif de l’atelier était de renforcer les capacités des participants
Ce reportage traduit le quotidien des éleveurs de Wassadou. Ils rencontrent les mêmes difficultés d’accès à l’eau que les femmes de certains quartiers du petit village situés sur la route nationale dans la région de Tambacounda. Par : Adama Dansokho Ménages et difficultés d’accès à l’eau potable Wassadou, Sénégal, Février 2022 Les femmes rencontrent d’énormes difficultés pour accéder à l’eau
Qu’est ce vous faites avec cette paille-là ? Je suis en train de tisser pour vendre ça. Tu coupes les herbes pour tisser et puis vendre afin d’avoir quelque chose à manger avec la famille ? Oui c’est ça exactement. Nous ne connaissons pas de toiture avec du zinc, mais uniquement les toits en paille. Je n’ai pas d’argent pour
C’est en fin octobre qu’on déterre l’arachide en regroupant les plantes déterrées en petits tas tout en les laissant séché sous le soleil. Au mois de novembre ces tas sont petits à petits regroupés en un très grand tas. Après ce travail on procède au battage du tas avec des battons puis à une séparation des graines et du foins.
Une rizière qui se remplit d’eau durant la saison des pluies empêchant la culture du riz. Elle est resté deux ans sans être exploiter parce que l’eau y reste entraînant le pourrissement des plantes à Wassadou.
« Pour nous, c’est ça qui peut nous aider, on va à Tamba pour vendre quelques marchandises et au retour on achète quelques produits maraîchers pour venir vendre ici, surtout pendant le ramadan. Cette année on a eu de la chance, ils n’ont pas fermé le marché, sinon c’était la galère. C’est cette activité qui nous permet d’aider nos maris