La rareté des pluies fait que les bas-fonds ne se remplissent plus d’eau comme auparavant. Ce qui impact négativement la production de riz. Les femmes du village pour joindre les deux bouts se lancent dans des activités alternatives comme le ramassage des pierres. Elles se répartissent en groupes pour ramasser les pierres afin de les vendre aux camionneurs venant de Tambacounda. Une source de revenu qui permet à ces braves dames de venir en aide à leurs familles.


Par : Hamading Kanté et Mamadou Djikine


Puits profonds illustrant la difficultés d’approvisionnement en eau à Missirah Tabadiang, Sénégal, Février 2022

Les puits à Missirah Tabadiang sont très profonds. Pour puiser l’eau de ce puits, la population fait recours à un âne pour tirer l’eau. Ce reportage, illustre les difficultés d’accès à l’eau dans ce village ou le forage construit par l’état du Sénégal ne fonctionne plus.  Au milieu de la saison sèche ce puit tarit.  


Par : Hamading Kanté


 Ramassages de pierres à Missirah Tabadiang, Sénégal, Février 2022

Cette photo montre un tas de pierre issu du ramassage des pierres des femmes de Missirah Tabadiang. Le ramassage des pierres est devenu une activité alternative en raison de la faible pluviométrie qu’enregistre annuellement le village. Pour subvenir à leurs besoins ainsi qu’à ceux de leurs familles, les femmes pratiquent cette activité puisqu’il y a plus assez d’eau dans les rizières. Avant le déguerpissement du parc Niokolokoba, elles ne connaissaient pas de telles activités.  Mais ce nouveau site avec ses réalités quotidiennes impose un changement de mode de vie et d’activités.


Par Hamading Kanté


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